Nymphe condor #16 Tungstène 2,5 rouge « Validée « 

Bonjour à tous,

en ce moment je suis en pleine préparation de mon prochain séjour dans les Dolomites  mi-octobre, en compagnie de mes comparses mousquetaires, Stef, David et Dominique, pour la 4ème années consécutives et pour préparer ce séjour, je monte de nouvelles nymphes pour pêcher la Sarca et d’autres cours d’eau alentours.

Mais avant de partir, il me faut les tester et c’est ce que je fais en ce moment lors de mes sorties de pêche ces derniers jours et ce jusqu’à notre fermeture officielle en 1ère catégorie. 

Que dire de ces nymphes, à part que les truites ont validées sans conteste ces petites bouchées, que ce soit en chartreuse ou ailleurs.

NB : Vous pouvez bien évidement décliner ces nymphes dans d’autres tailles d’hameçons ou de billes.

Pour ce qui concerne , afin d’éviter toutes polémiques sur la provenance de ces plumes,  mais également pour ceux que ça intéresse, les herls de condor ou vautour naturels que j’utilise, ont étés achetées dans des parcs animaliers, comme par exemple celui que j’ai visité l’an dernier   » Les aigles du Léman « , entre 20 et 30 € la plume, c’est pas donné, mais quand on voit le nombre de nymphes ou mouches que l’on peut faire avec une seule plume, ça vaut quand même le coup !

Voici quelques belles truites bien dodues prises en flagrant délit de gourmandise, au cours de ma session de ce vendredi 6 septembre, avec pas mal de petites entre 15 et 20 cm .

Vidéo de la remise à l’eau 1

vidéo de la remise à l’eau 2

D’autres montages seront présentées dans mes prochains articles et j’espère pouvoir faire de nouveaux retours sur ces montages, que je vais utiliser d’ici la fermeture.

Merci de m’avoir lu !

Les « Dolomites 2023 » 3ème édition

Bonjour à vous,

Me voici de retour de mon séjour en Italie, en compagnie de mes amis Stéphane, Dominique et David, pour la 3 éme année de pêche dans les Dolomites et la seconde pour notre David. 

Départ de chez Stéphane le lundi à 10 heures du matin, cette fois nous partons à deux voitures, David dans celle de Stef et moi dans celle de Dominique, autant que nous deux plus plus âgés,  les discussions allaient bon train tout au long du voyage, nous avions hâtent d’être arrivés sur notre lieu de pêche.

Dés notre passage de la frontière italienne, nous nous sommes arrêtés pour prendre notre 1er cappuccino, une habitude traditionnelle depuis nos escapades italiennes.

A Milan la température est de 33 degrés, c’est dingue pour ce mois d’octobre, mais d’après nos épouses c’est pareil en France.

Lorsque nous sommes arrivés sur notre lieu de résidence, le thermomètre affiché encore 27 degrés en fin d’après midi, heureusement que les nuits étaient plus fraiches.

Par contre, nous avons trouvés des rivières en eau, mais c’était de l’eau de fonte , cela n’a nullement dérangé les poissons, ils étaient même  très combatifs dotés d’ une énergie incroyable, les prises étaient agrémentées de multiples chandelles , au point d’avoir perdu plusieurs truites ou de marmoratas aussi bien en sèche qu’ en nymphe.

Ce serait trop long à narrer toute la semaine de pêche, tellement il y a à dire sur la pêche, les paysages, les fous rires, les sessions de pêche du matin au soir, avec juste une courte pause casse croûte le midi et les coups du soir tous plus au moins bons et les bons restaurants bien évidement.

Les anecdotes plus ou moins rigolotes, lorsque l’on perd de beaux poissons, j’en ai fait les frais, tout comme mes compagnons de pêche et j’ai eu quelques passages à vide, les journées de pêche étant intensives, c’est que la Sarca n’est pas une autoroute et que la crapahute était de mise, sans compter les quelques erreurs d’approches qui m’ont fait payer cash une ou deux sessions.

Comme par exemple la perte de deux très grosses truite pour ce qui me concerne, une de 50 cm en nymphe et une autre encore plus grosse prise en sèche, sans compter celles de 40 qui prenaient sur le bout des lèvres nos mouches.

Des coups du soir ou des truites de 35 à 40 cm, sortaient hors de l’eau à plus de 50 cm de hauteur pour se saisir de sedges, je n’avais jamais vu ça auparavant, du moins pas autant que ce soir là.

Pareil pour mes compagnons de pêche, David, Dominique et le must , une très grosse truite prise par Stéphane, un poisson exceptionnel perdu à cause de la malchance !!!

Je vous raconte la scène que je n’ai pas vu , mais détaillée mon ami David, qui vient au secours de Stéphane pour la mise à l’épuisette de cette Big Mama, un poisson qui devait faire plus de 80 cm. La canne complètement arque boutée comme une roue de vélo, tient ce poisson qui ne veut pas décoller du fond, car cette masse au fond de l’eau, vend chèrement sa peau. Quand soudain, David voit passer au dessus de lui deux canards qui venaient juste de s’envoler de la rivière et malheureusement pour Stéphane, l’un d’eux s’est pris le bas de ligne sous l’aile, entrainant  avec lui prés de 5 m de fil, la casse s’en est suivie et de ce fait, notre ami Stéphane a perdu ce superbe poisson qui aurait pu être son Graal et obtenir un nouveau record de taille.

Pour vous donner une idée de la taille de ce poisson, voici ce que l’on peut pêcher sur ces rivières, celui de Stéphane devait être sensiblement de la même taille que celui pris cet été par notre guide Stefano Fredizzi au cours de cette saison.

Quelques photos prises au cours de notre séjour sur la Hte Sarca, bien évidemment toutes ne sont pas présentent, mais l’essentiel est là, pour étayer cet article, certes il nous manque nous plus beau poissons, dépiqués ou cassés au cours de cette semaine de pêche.

Le point positif, c’est qu’il s’est pris énormément de truites en nymphe et surtout en sèche, sur des gobages ou en pêchant l’eau.

 

Un aperçu de cette fabuleuse destination de pêche à la mouche..