Bonjour à tous, je vous communique les tarifs votés concernant les cartes de pêche pour la saison 2026 , concernant les aappma réciprocitaires.
Carte Interfédérale : 114 € – Carte Majeure : 87 € – Carte Découverte femmes : 42 € – Carte mineure ( moins de18 ans ) : 27 € – Carte enfant (moins de 12 ans) : 8 € – Carte journalière : 18 € – Carte hebdomadaire : 36,50 € – Vignette CHI: 40€.
Pour mémoire ou à savoir que :
Pour la réciprocité Guiers , penser à vous acquitter du » Timbre réciprocité Guiers « , il vous permet de pouvoir pêcher des deux rives des Guiers et Guiers vif , deux rivières limitrophe des départements de l’Isère et de la Savoie et ceux à partir de la confluence des deux Guiers, jusqu’au Rhône,étant donné que le département de la Savoie n’est pas adhérente à l’entente halieutique interfédérale (CHI)et aux autres fédérations adhérentes, celles du Grand Ouest et celles de l’Urne.
Ah ! ces redevances qui amputent nos cartes de pêche :
Pour information, sachez que sur le coût d’une carte Interfédérale ou Majeure, ces cartes sont majorées des taxes (CPMA et RMA), dont le montant total pour ces deux formules est de 41,80 €, et moins élevées sur les autres cartes, mais taxées quand même.
A qui sont redistribuées ces redevances ?
La CPMA (33,00€ ) : somme qui doit être reversée pour la » Cotisation Pêche Milieu Aquatique (CPMA) » . Elle est annuelle et personnelle et acquittée une seule fois par an et par pêcheur. L’exonération n’est possible que pour le seul titulaire de la carte annuelle avec une CPMA de la même année.
La RMA (8,80 €) : somme qui doit être reversée à l’Agence de l’eau à laquelle est rattaché le département où a été effectué l’achat de la carte de pêche.
Voici le tableau des répartitions des cotisations et redevances de nos cartes de pêche :
Quoiqu’il en soit, il vous faut une carte de pêche pour pouvoir pêcher, car c’est obligatoire et que le coût de l’infraction peut vous couter beaucoup plus !
Mes amis Or Elle « Aux plumes d’or » et Amandine, connus sous le pseudo de Måndhu, sont venus explorer la Chartreuse pendant un week-end en Savoie, en profitant de la pluie et du soleil.
Cela faisait un bout de temps qu’Aurélien voulait pêcher nos rivières,pour cette occasion, nous avions invité Damfly, mais hélas ce jour là, il n’a pu se joindre à nous, c’était bien dommage.
Nous avons eu une météo très pluvieuse, nous étions trempés jusqu’aux os, mais cela n’a pas atteint le moral de mon ami Périgourdin , bien au contraire.
D’ailleurs, il s’est bien régalé lors du combat avec cette très belle fario, qui lui à donné quelque peu du fil à retordre, mais une fois dans l’épuisette , son regard en dit long sur sa 1ère truite du Guiers. Par la suite, il enchainera quelques autres prises moins grosses, mais il a également pris quelques ombres communs.
Et les arbres aussi , ont aimé ses nymphes 😄😄
Les voici tous les deux pendant le coup du soir. Il ne faisait pas chaud, les fortes averses que nous avons subit, ont un peu refroidi nos corps trempés en cours de journée. Amandine avait même gardée son pull, c’est peu dire, malgré tout, elle réussira à déloger une truite sur ce secteur.
Quelques semaines auparavant, nous nous étions retrouvés avec Mandhü pour un après midi, de pêche en sèche, à la grande joie de ma coéquipière , voyant les truites monter sur son sedge -Tabanas.
Ce fût une demie journée fort sympathique, agrémentée de quelques truites et d’une partenaire de pêche très agréable, souriante, je garde un très bon souvenir de cette sortie.
Bonjour à tous, je vous relate ma fermeture anticipée qui s’est déroulée le jeudi 9 octobre, en compagnie de David Busca, avec qui j’ai covoituré pour rejoindre nos potes Stef, Olive26, Thierry et Jérôme, dans le massif des Aravis.
Avant de partir, nous sommes passés chez Fabien (Immersionpeche) pour prendre un café, avant qu’il parte bosser. De plus, David ne l’avait pas revu depuis un certain temps, c’était l’occasion parfaite.
Cette année, nous n’avons pas réservés notre couchage au gite, à regrets d’ailleurs car l’endroit est parfaitement placer pour nous adonner à notre loisir pêche, les rivières et torrents ne manquant pas dans cette merveilleuse région.
Nous ne savions pas encore quelle rivière pêcher, pour cela il nous fallait attendre la sélection de notre organisateur et non moins ami Stéphane Millabet qui, pour ce type de préparatifs est au top, que ce soit pour le choix des parcours ou de l’intendance, rien n’est laissé au hasard, comme lorsqu’il nous organise notre séjour en Italie.
Nous avons donc fait la route seulement pour la journée, mais le plaisir de retrouver les copains et d’être en bonne compagnie à combler le déplacement.
Comme je l’ai souligné précédemment à propos de l’organisation, le casse croûte de midi n’était pas de reste, les victuailles posées sur la table témoignent de mes dires et tout ce qu’ils avaient amenés pour le week-end reste digne d’un grand restaurant gastronomique, ils n’ont pas dû mourir de faim et ni de soif 🙂 🙂
Il est 14hoo, nous nous apprêtons à partir pêcher, mais pour cela il va falloir rouler un peu, à table, Stéphane nous à proposé le Giffre, c’est donc sur cette rivière que nous allons faire nager nos nymphes et flotter nos mouches.
Nous n’avons pêchés que l’après midi, mais nous nous sommes bien amusés, une grande majorité des truites capturées étaient des truites Aec (arc -ciel) bien combatives, mais quelques petites truites fario sont venues goûter à nos nymphes.
David à bien géré sa sortie , il a pêché en séche-nymphe, il à fait pas mal de truites lui aussi, que ce soit des arcs ou farios , il maitrise parfaitement bien, avec cette technique. Je le regardais pêcher et je suis vraiment admiratif de la façon dont il pêche et de ses énormes progrès depuis ses débuts à la mouche.
C’était ma fermeture 2025, d’une saison en demie teinte, ou j’ai quasiment très peu pêché, mes petits soucis de santé survenus depuis la mi juin, ont compromis pas mal de sorties de pêche.
D’ici quelques jours, je vous ferai part de quelques sorties de pêche que j’ai effectuées avant cette fermeture générale, depuis la mi-septembre.
Dorénavant, nos rivières de première catégorie vont retrouver un peu de calme, et les truites pourront reprendre possession de leur territoire sans subir de stress quotidien et se concentrer uniquement sur leur procréation.
je vous relate mes trois précédentes sorties de pêche réalisées avant la fermeture 2025 de la pêche de la truite en 1ère catégorie dans les alpes.
Le mardi 30 septembre, je suis monté en chartreuse pour rejoindre en fin de matinée mes amis Eric et France, un couple sempèiste venus passer leur week-end en camping cardans la région. Ils devaient participer » Aux Rencontres Sempé Alpes 2025 « , pour ce week-end d’avant fermeture.Ce fût une bonne occasion de nous revoir et d’aller pêcher ensemble, avant qu’ils aillent rejoindre le groupe de sempèistes le vendredi suivant.
Eric pêche également à la mouche, alors vu que les niveaux n’étaient pas très hauts sur les guiers, nous avons pris un peu de hauteur, pour une partie de pêche en sèche. France n’a pas voulue pêcher et nous a accompagnée le long des sentiers. Je n’ai pas pris de canne non plus, je voulais que Eric se fasse plaisir, malgré le peu d’activité avec des truites hyper calées, il réussira toutefois à faire quelques petites truites sur un Tabanas, puis une ou deux autres à la nymphe.
Samedi 4 octobre, je m’octroie deux petites heures de pêche histoire de digérer un peu aprés un bon restau. Pas de gobages, malgré une petite pluie fine , n’ayant pas envie de m’éterniser jusqu’en fin d’après midi, je me met à la nymphe. Il y avait peu de poissons actifs, je terminerais ce parcours no-kill avec seulement 4 truites, une autre aussi belle dépiquée, puis je prendrais 4 chevesnes et 1 vairon. Un peu dégouté de ce qu’est devenu ce parcours ou à l’époque je prenais de très belles truites, maintenant les chevesnes ont quasi colonisés ce parcours.
Le lundi 6 octobre, je rejoins Eric pour une nouvelle sortie de pêche,le niveau d’eau est un peu plus conséquent que les jours précédents, mais les poissons toujours aussi peu actifs, comme si la rivière était vide. Puis vers midi sur un laps de temps très court, une fenêtre de capture s’est ouverte, je prendrais une truite et un ombre en nymphe.
Malgré que cette session fût assez compliquée, avec une eau froide et un vent froid qui s’est levé, une rivière qui s’est soudainement fermée, je tire mon épingle du jeu en prenant cette magnifique truite à points rouges qui m’a bien donnée du mal, prenant le courant et jouant de tous ses muscles pour essayer de rejoindre la berge, sousles saules qui bordent la rivière.
J’ai passé une bonne quinzaine d’avant fermeture, j’aurais mettre quelques photos de plus grosses truites que je n’ai pas réussi à maitriser, sans doute à cause du manque de pêche de ces derniers mois. Mais je sais ou elles se trouvent et je sais que dés cet hiver, elles pourront nous donner faire de belles reproductions.
En attendant de vous relater ma fermeture anticipée dans les jours prochains, je vous remercie de m’avoir lu !
Salut à tous, voici un petit compte rendu petit de cet après-midi, du 8 septembre, avec un temps mitigé entre soleil et nuages. J’ai trouvé une eau bien fraîche , aucun insecte aperçu en surface, encore moins de gobages , le niveau d’eau était correct et une eau claire et fraîche. J’ai donc choisi de pêcher en nymphe au fil ( Naf) , les poissons n’étaient pas très actifs toutefois, malgré quelques ombres pris, dont un joli depiqué. Je fini ma session avec six ombres et 3 vairons, pris sur la nymphe de potence . J’ai eu une invitée surprise, une petite couleuvre viperine, profitant de la chaleur des graviers, pour se faufiler tranquillement entre mes chaussures 😄.
Triste constat, de voir cet ombre commun, avec une blessure sur le haut du dos. Cette colonie de Harles Bièvres, n’en a pas finit de décimer nos rivières, à en juger la photo que j’ai prise du haut d’une butte. 😡😡😡
J’ai eu une invitée surprise, une petite couleuvre viperine, profitant de la chaleur des graviers, pour se faufiler tranquillement entre mes chaussures 😄.
Le 10 septembre, j’ai fait une courte session en ce milieu d’après-midi, j’ai trouvé une eau fraîche, claire, les truites étaient un peu plus activent que précédemment. Mais toujours pas d’activité en surface, seulement quelques petits éphémères, pas de quoi susciter le moindre gobage. Donc, pêche à la nymphe, je vais avoir eu une petite dizaine de touches, seulement 8 truites de touchées ,dont trois qui se sont depiquées avant la mise à l’épuisette. J,aurais pu poursuivre ma session et faire le coup du soir, mais cela à largement contribué à mon bien être. Puta…in ça fait du bien de retrouver le bord de l’eau. 😆
Vendredi 12 septembre, 3ème sortie de la semaine, le temps est couvert, l’eau est fraîche. Je vais toucher une bonne vingtaine de truites au total, pas mal de petites et deux ou trois autres maillées. Et pour terminer, une bonne gamelle et un petit bain forcé, sans gravité fort heureusement, mis à part quelques égratignures au coude droit. 😄
Voilà pour ces sorties, je vous relaterais les prochaines sorties d’ici peu. Bonne fermeture à ceux qui sont concernés.
Slt, journée retrouvailles avec mes amis Damien Spoto et Yves Perrin-thoinin, pour une petite journée de pêche. Autant dire que nous n’avons pas cassé trois pattes à un canard. Nous avons pechés le Guiers sur l’ancien parcours nk au pont du curé, rare endroit où il reste encore de l’eau, Yves depiquira une arc en pêchant à la nymphe ,tandis que Damien et moi, nous allons pêcher en sèche, nous avons fait monter quelques ombrets (6 à 8 cm) sur des petits cdc en taille 20. Les poissons étaient bien calés, ce fut un capot pour nous trois sur le reste du parcours. Situation catastrophique de l’état de nos rivières, imaginez le Guiers mort à 0,40 m3 ,le Guiers vif o,30 m3 , malgré les fortes pluies de la veille, nos rivières n’ont pas grossies. Nous aurions presque pu cueillir des tomates, qui ont poussées sur les bancs de gravier, hâte de voir nos rivières en eau. 😢Ci-dessous quelques photos du Guiers au pont du curé, sur l’ancien parcours no-kill.
Nous aurions pu cueillir des tomates 🍅 🍅 🍅 , si celles ci étaient mûres, la personne qui s’est occupée d’en prendre soin, à intérêt à ce qu’une crue n’emporte pas ses futures salades 😆
Le Guiers mort dans les gorges, même situation, je n’ai même pas eu l’envie de pêcher, et je n’ai pas pris de photos dans la plaine du Guiers mort encore plus bas ..
Bonjour à tous, voici un petit récit sur cette session avec David , dont j’ai bien connu son papa et lui très jeune, c’était dans les années 80 , autant dire que ça date un peu.
Cela faisait un bail que nous devions faire une sortie ensemble et ce depuis la saison dernière, mais les aléas sur la santé de mon épouse en avaient décidés autrement.
C’est fait. Nous avons enfin pu effectuer cette sortie. Mais que dire sur cette sortie, à part que la pêche a été assez difficile malgré un bon niveau d’eau, mais la rivière était quasiment fermée.
David, excellent pêcheur à la nymphe, réussira à prendre trois truites sur ce parcours , tandis que de mon côté, je me contenterais que d’une seule truite, hélas dépiquée en plein courant, mais cela m’a sauvé du capot.
Éreintant
Nous avons bien capahutés quand même ,car évoluer sur ce type de torrent en eau, requière une très bonne forme physique et moi je commence à ressentir le poids des années, alors je prends mon temps et je contemple la nature et ses vestiges.
Le père Léo au bout de ses peines !
Par endroits, j’ai eu quelques problèmes à me déplacer sur ce parcours en eau, moins serein que les autres années, j’ai désormais peur de prendre un bain forcé, surtout dans ces marmites ou l’eau bouillonne comme dans un tambour de machine à laver le linge.
Par craintes, je n’ai pas osé traverser la rivière pour rejoindre le collègue, j’ai donc été dans l’obligation de court-circuité le tronçon en remontant dans les pierriers et de redescendre à la rivière un peu plus loin, délaissant quelques jolis postes à pêcher.
Inquiétude sur le débit réservé
Lorsque je suis passé en direction des gorges, j’ai été interpellé par le niveau du Guiers mort à la sortie du bourg en remontant en direction des gorges, peu d’eau et des algues vertes tapissent le fond.
Le débit réservé n’a pas était respecté par le barragiste qui se trouve en amont et la restitution d’eau n’était pas totalement réalisée.
Comment se fait il qu’au même moment sur la partie amont du barrage il y est autant d’eau et qu’à l’aval, il n’y a presque plus d’eau ? Même si je sais pertinemment que la section aval barrage est moins encaissée que sur la section amont barrage, mais ou est passée toute l’eau ?
Je sais que la garderie de l’aappma des pêcheurs du haut Guiers reste vigilante, mais j’ai tout de même envoyé les photos ci-dessous à Mr Marcel Guittat le président de l’aappma en souhaitant que cela puisse apporté une nouvelle fois des éléments complémentaires à ce dossier.
Quelle souffrance ces oiseaux !
Et pour couronner le tout, j’ai photographié ces deux harles bièvre se laissant descendre au gré du courant en toute quiétude et se nourrir en plongeant sous l’eau.
Voilà que prend fin le récit de cette journée , merci de m’avoir lu !
Et voilà la saison de pêche en 1ère catégorie 2024 qui vient de se terminer, pour les Alpes, un peu perturbée ces derniers jours par la pluie, qui a déjoué certains plans pêche.
Nos rivières étaient un peu hautes et froides, avec l’arrivée les premiers frimas de l’automne, une météo dégradée depuis fin septembre et en ce début octobre tout aussi médiocre, c’est sur que ce n’est pas l’été indien que nous espérions.
J’ai clos ma saison ce samedi 5 octobre, en compagnie de mes amis Claude, Nico et tonton Jeff (Jean François), qui est venu passer le week-end aux « Rencontres Sempé Alpes 2024 » , ou comme chaque année, le groupe était basé au camping » Le coin tranquille » aux Abrets (38).
A 8h30, je suis arrivé au camping, pour récupérer Claude et Jeff et revoir Richard et Hugo Sempé et quelques potes sempéiste dans la salle ou tout se petit monde prenait le petit déjeuner, avant de partir à la pêche, mais moi, cette année, mis à part le petit café du matin , je n’avais fais de réservation pour le repas de soirée, ou du dimanche midi, il me fallait rentrer tôt par obligation familiale.
En route pour cette journée de pêche :
Donc pour cette fermeture, Jeff voulait pêcher en sèche et m’avait demandé d’amener une canne à mouche en plus, et ce fut fait. Sachant que la pêche du matin en sèche en cette période ne serait pas des plus simples, d’autant plus que les niveaux , étaient un peu forts et l’eau bien froide, la température était de 9° à St Laurent du Pont, alors je vous laisse imaginer sur les hauteurs, il faut enlever un ou deux degrés supplémentaires, mais nous n’étions pas pressés, trop contents de nous retrouver ensemble, je n’avais pas revu Jeff depuis 2019 c’est peu dire.
Partis des Abrets, nous sommes arrivés sur place. Il était un peu plus de 10 h du matin. Le temps de nous changer, Nico arriva à son tour. Une fois prêts, nous avons scindé notre groupe en deux équipes, enfin presque 🙂 Claude partit seul à l’amont car il avait fait le choix de pêcher aux appâts et nous trois à la mouche, nous avons choisi l’aval 🙂 🙂 .
La pêche, mais pas comme je l’avais prévu !….
Ce n’était pas la folie côté touches en voulant pêcher avec un Tavanas, qui habituellement nous réussi bien sur cette rivière, n’a pas été à la hauteur de nos attentes, car les truite étaient bel et bien calées.
Nico touchera la première truite du groupe, une petite truite qui tout de même débloque le compteur. Tandis que Claude de son côté, fera mieux que nous en pêchant au appâts (vers), il touchera 9 truites le matin.
Jeff et moi, ce ne fut pas mieux, nous avons fait monter quelques truites, j’en fais une à la nymphe car j’avais troqué mon tabanas en arrivant sur un joli spot, puis nous avons terminés notre parcours à 12h30, car c’était l‘heure du casse croûte.
Nico , plus équipé que nous pour les préparatifs du casse-croûte, nous a sorti les chaises pliantes, nous étions ainsi bien installés au soleil, tout en gardant nos vestes, j’avais encore froid aux mains.
Après cette collation, comme à son habitude, Nico nous a offert la petite goutte de chartreuse verte, seul bémol, aucun de nous avez pensés à apporter le café et ensuite, nous avons repris le chemin de la rivière, qui était encore à bien l’ombre.
Seuls Jeff et moi avons pris nos cannes pour l’après midi, tandis que nos deux compères nous ont suivis en longeant la berge.
Jean François habitué à ses rivières auvergnates, fut toutefois un peu déboussolé par cette pêche quasi sous la canne , équipé d’un Tavanas ou le lancé devait pratiquement se faire avec peu de soie dehors ou même pas selon les coups à pêcher sous cette couverture végétale par endroits.
Nous avons remonté la rivière, tout en prospectant chaque bloc, chaque berge, chacun d’un côté du cours d’eau, nous avancions au même rythme, Jeff a fait monter pas mal de truites, mais beaucoup de ratées, par manque d’habitude.
De mon côté j’en fais monter quelques-unes aussi, malgré ça, les truites n’étaient pas très actives. Nous avons trouvé une rivière quasi fermée, du moins pour la pêche en sèche. Je pense qu’à la nymphe, nous aurions pu en faire davantage, mais notre objectif était de ne pêcher qu’en sèche.
petit déjeuner au camping
coprins chevelus
les doyens de la team
Nico en séche
Jeff
l’éléve appliqué
sont plus sérieux à la pêche qu’à table
Claude et Nico nous suivent sur la berge
à l’année prochaine..
une jolie truite du secteur
clap de fin , la dernière de la saison
Á vrai dire, j’avais fait deux sorties les jours précédents, et les conditions de pêche étaient meilleures, je vous laisse cliquer sur les liens ci-dessous :
J’ai souvent mentionné au fil de mes publications que cette saison ne sera pas, pour ce qui me concerne, classée parmi les meilleures, malgré les quelques dernières sorties où tant bien que mal, j’ai tout de même réussi à faire quelques poissons, c’était le but de cette sortie, d’être ensemble et passer une bonne journée en bonne compagnie.
J’espère que pour vous, que cette fermeture s’est bien passée et que votre saison 2024 vous a été faste ?…
Les Dolomites
Les aléas de la vie ne m’ont pas permis d’aller plus souvent à la pêche et de ce fait, j’ai annulé mon 4ème séjour dans les Dolomites, je ne serai donc pas de la partie cette année, à cause des petits soucis de santé de mon épouse.
J’espère bien me rattraper l’an prochain, en tout cas je compte sur les copains qui m’ont promis de me faire vivre leur séjour au travers de leurs photos sur notre groupe WhatsApp.
Et cette fois les Dolomites et les bons repas se feront sans moi, amusez vous bien les amis et bien le bonjour à Stefano de ma part 😦 😦
Bonjour à tous, un petit résumé rapide de mon escapade en terre Drômoise. Avec let découverte d,une rivière que je ne connaissais pas. Malgré une météo pluvieuse, nous sommes partis balader avec mon épouse ,dans le fond de la vallée avec 150 m de dénivelé, pour aller voir une cascade haute de 72 m de haut. Puis après le repas, je me suis octroyé une petite session de 14h à 16h, je prendrais une vingtaine de truites en nymphe sur 400 m de rivière parcouru, de la où j’ai commencé ma pêche,jusqu’à mon camping car. Voici quelques photos et deux vidéos, pour vous donner un aperçu de cette escapade en Drôme du sud : https://vm.tiktok.com/ZGeuM7mrD/ https://vm.tiktok.com/ZGeuMWTWw/
ce samedi 24 février, pour nous rendre au salon provençal de pêche à la mouche , avec René alias Vicking38, nous avons covoiturés , afin d’alléger les frais de route, plutôt que de partir seul chacun de son côté et en plus ça permet de discuter tout au long du trajet.
Notre rendez vous était fixé à 7h30, l’autoroute n’étant pas loin de la maison, il nous à fallut à peine un peu plus de deux heures de route, suite à une petite erreur de ma part, je suis sortie à la bretelle d’avant, ce qui nous à fait traverser quelques petits villages, mais bon rien ne pressé , nous avions toute la journée.
Enfin nous voici arrivés à l’Isle sur la Sorgue, le parking de la salle des fête étant complet, nous avons trouvés une place à quelques centaines de mètres, c’était parfait, il nous restait plus qu’à franchir les portes et nous acquitter de nos billets d’entrées et nous voilà dans la salle d’expositions.
J’ai pu au détour des stands m’apercevoir, que beaucoup d’artisans étés présents et j’ai eu grand plaisir à admirer leurs créations, en un mot ce salon aurait pu être placé sous le signe de » L’artisanat Français « , car il reste encore un savoir faire dans notre pays ,vous pourrez le voir de vous même sur certaines de mes photos.
Un grand bravo à tous ses artisans !!!
Stand de Damien Spoto Damfly : De facto, nous nous sommes dirigés vers le stand pour retrouver les potes, Damien était entouré d’une belle équipe, Jerome Garcia ( Flyfishing social groupe Facebook) , Patrick Gillis ( président du club mouche.fr) et Angélique Devogelaere ( sélectionnée en équipe de France féminines de pêche à la mouche ), qui défendra les couleurs de la France avec la sélection nationale aux championnats du monde en Tchéquie du 19 au 25 mai 2024.
Angélique est monteuse professionnelle de mouches artificielles, pour la contacter sur Facebook » cherchez » One Fly One Fish » , au cas ou vous avez besoin de mouches ou nymphes, vous pouvez lui faire confiance.
Je quitte le stand provisoirement , afin d’aller rendre visite aux autres exposants amis, tout en prenant le temps de regarder les autres stands.
Stand de Laurent Jauffret : Le régional de l’étape, l’incontournable, je ne pouvais pas, ne pas m’arrêter sur son stand sans quoi il m’aurait tué mdr !!. Lolo, de son pseudo, est toujours de bonne humeur, il n’est pas avare de conseils techniques grâce à ses tutos qu’il a nommé » Les tutos de Lolo « , pour la technique de la nymphe au toc, dites pêche à la Bouboule , alors n’hésitez pas à rejoindre le groupe sur Facebook, ce week-end il vient de passer le cap des 5000 adhérents.
Sur la photo, sont présents : Rémi Vicente son bras droit, Jérôme Castillon (en rouge), Nicolas Di Lucas assis sur les genoux de Manu Vialle ex directeur commercial chez JMC et désormais à la retraite et Laurent Jauffret bien évidement.
Stand de Thierry Bonini alias Titi : Cet artisan créateur, réalise de superbes boites à mouches en bois précieux, c’est un travail d’orfèvrerie, elles sont décorées entièrement à la main. C’est plus qu’un travail, car on ressent au travers de ses créations de la passion, la même que celle qu’il à pour la pêche à la mouche et pour la musique, car chaque week-end il joue dans un groupe et donne des concerts, bravo Titi !!..
Thierry est toujours accompagné de son fils, lors des salons, ce sont de belles personnes que j’apprécie énormément, je les avais invité à venir exposer à la fête du Guiers en 2015.
Le stand de Hervé Charpenel : Facteur de cannes renommé depuis déjà quelques années et toujours présent sur les salons de pêche, Hervé est talentueux dans la fabrication de cannes à mouche, aux leurres ou cannes de type anglaise, vous pouvez visiter son site » Salmonidés événements » , il est aussi revendeur des chaussures Andrew.
Stand de Joël Santoni » JS Patch FlyFishing « : Je suis allé me présenter à lui, depuis le temps que nous sommes amis sur Facebook, je n’avais jamais eu l’occasion de le rencontrer, voilà qui est désormais chose faite.
Créateur de Patchs de nymphes entièrement réalisés à la main dans du cuir naturel, Joël (à droite de la photo) créé également des amadous, des harnais et encore d’autres produits issus de son atelier !
Stand Jean Sylvain Amy » Air et Water « : placé juste en face du stand de Damfly, j’ai pu discuter avec ce monsieur, il est facteur d’épuisettes en bois et si vous êtes amoureux de belles épuisettes artisanales et de divers objets en bois, il y avait sur ce stand de quoi satisfaire vos envies, j’ai pu voir un très joli panel de créations, des truites sculptées dans la masse, mais encore d’autres petites merveilles, présentées au public et destinées à la vente ça va de soi.
C’est sur ce stand que j’ai pu faire la connaissance de Thierry Luxor, nous sommes en contact sur Facebook, mais je ne l’avais jamais rencontré, il m’a appris qu’il était né à Grenoble, il y a vécu jusqu’à l’âge de 14 ans, avant que ses parents déménagent pour une autre région.
Thierry Luxor champion du monde vétéran 2023 sur le stand de Jean Sylvain
Damfly et Jean Sylvain
Ses créations et de superbes épuisettes
Stand Cdc Feathers et Fly Tying : si vous êtes à la recherche de cdc de qualité, avec une large panel de teintes, à des prix plus que raisonnables, c’est une bonne adresse. Je connais beaucoup de potes, qui achètent sur le site de cette société. Mis à part les plumes, vous y trouverez également des soies tissées ultra- fines comme la Snake – Skin- Like . Très bonne impression sur ce stand avec de charmantes hôtesses tout sourires au lèvres, qui étaient de bons conseils, je vous recommande ce site.
J’ai acheté des pochettes du cdc kaki et mauve pâle pour moi, de quoi réaliser quelques petites émergentes en culs de canard pour la saison à venir et même plus.
Quatre stands en une photo :
Stand Guillaume Satory : est un commercial multicartes, il représente des marques de grands nom comme , le fil Teklon,Maxima et le Magic Cdc et bien d’autres produits encore.
Stand de Serge Marty : Natif du Pays d’Oc, son Atelier Cathare , est connu de tous, on le rencontre sur presque tous les salons en France et même dernièrement en Belgique, Serge est très connu dans le monde de la pêche à la mouche.
Ce tourneur sur bois, à les doigts agiles, il a une parfaite connaissance de tous les bois, que ce soit de l’olivier, buis, ébène ou autres essences , il arrive à créer de ses mains sortent de magnifiques petits outils pour le montage de mouches artificielles, mais aussi capable de refaire vos poignées de canne, des boutons de manivelles en bois et les très réputés Récup’fil , tout ça fabriqué dans du bois, en plus d’être un personnage fort sympathique.
Maxime Miquel Tenkara Pyrénées : lorsque je le croise dans les salons , j’ai toujours plaisir à discuter avec guide de pêche au Tenkara depuis 2007.
Si vous êtes à la recherche de sensations, essayer cette technique ou commencez par visionner les vidéos de Maxime, vous surpris de voir ce qu’une canne sans moulinet peut arriver à faire face à de très grosses truites, bien évidement, cela demande une certaine maitrise , mais tout s’apprend et pourquoi pas vous.
Alberto Gargantini AG -FISHING : j’ai bien discuté avec ce guide italien, malgré la barrière de la langue, nous nous sommes bien compris, un gars fort sympathique, il guide du nord de l’Italie et de l’Autriche.
Je lui fait part que chaque année depuis 3 ans, je vais pêcher dans les Dolomites à l’automne avec notre guide Stefano Fredizzi et il me répond qu’il le connait car ils sont amis, comme quoi le monde de la pêche à la mouche est vraiment petit !
Stand Devaux : On ne peut rater ce stand, c’est un des plus grands du salon, certes marque est toujours dans l’innovation de nouveau produits ou d’habillements et cette année encore il y a beaucoup de nouveautés qui voient le jour. Lorsque je viens visiter un salon, je ne déroge pas à la visite du stand et j’en profite également pour saluer Jean Marc Chignard , mais également mon ami Jean Bernard Favi, toujours fidèle au poste depuis l’époque de Jacques Boyko.
Nous voici en photo à tour de rôle avec René qui lui aussi connait bien ses deux personnes.
Quatre stands en une photo :
Le stand Sage : Beaux matériels ,belles cannes , le prix est égal à la qualité des produits, pas pour toutes les bourses j’en conçoit, mais ayant eu des cannes Sage à l’époque, autant que c’est du bon matos, en une phrase » Faites chauffer la carte bleue » 🙂
Le stand de Bernard Rigal : Même si je ne suis pas adepte des cannes en bambou refendu, j’apprécie et je respect le travail de ceux qui les fabriquent, car ce sont des dizaines d’heures de travail pour obtenir des cannes à mouche de précision.
Encore une nouvelle fois, je met à l’honneur ces artisans qui ne jouent pas dans le même registre, face au carbone ou autres matériaux modernes. Eux au moins ils ont le plaisir de palper la matière, d’ébaucher, poncer, en partant d’un simple morceau de bambou, et au final sortir de leurs ateliers, de sublimes cannes à mouche et si ça ce n’est de l’art, c’est que je n’y connais rien.
Au moment ou je fait la photo, Bernard Rigal est en train de remettre une canne en bambou de sa création, à Eric Arnaud pour sa dotation participative pour le tirage au sort de la tombola et ce n’est pas un petit lot, car cette canne à une valeur à la vente de 900 €. Je ne peux que féliciter ce monsieur que je croise à chaque salon de pêche, bravo Mr Rigal !
Stand de Pierre Emmanuel Crisa » Les mouches de Pierrot » : il est toujours présent sur les salons, c’est un monteur de nymphes et perdigones « appelées les bonbons de Pierrot » des nymphes très réputées dans le monde des compétiteurs et pour dire que lui aussi, il connait.
Stand de Vincent Botte » Fly Concept Distribution « : Je suis passé saluer Vincent comme à chacune de mes visites sur les salons et j’en ai profité pour faire la connaissance visuelle de Stéphane Corre à gauche sur la photo, un bref instant , le temps d’une photo, car je ne voulais pas trop déranger, ils étaient quand même bien occupés à préparer le stand.
De nouveau sur le stand Damfly : Damien est en pleine discussion avec Fabien Mercier, guide de pêche et monteur en Auvergne, il s’apprête à acheter le Premium, connaissant ses talents de monteur de nymphes et de perdigones, alors autant dire que ce nouvel étau va chauffer, et ce qui ne gâche rien , c’est aussi un excellent pêcheur.
Sur la photo en bas à droite, Damien prépare des tranches de Pancetta qu’il à préparé pour le salon , pour le casse croûte du midi, merci Damien pour cet accueil chaleureux. On peu voir aussi, les plumes d’Or Elle, et les superbes étaux Premium, encore une mention très bien pour l’artisanat français.
Les rencontres et les amis :
J’ai rencontrer beaucoup de personnes, toute au long de la journée, je ne peux hélas tous vous citer, mais voici quelques noms avec lesquels j’ai bien discuté.
Vincent Villermet ( ébéniste pêcheur) , il n’est pas sur la photo, mais c’est un vrai passionné et un amoureux de sa rivière , aappma du bas Verdon, si je passe à Gréoux les bains, promis je te fais signe pour une partie de pêche .
Mes amis Sempéistes en bas à gauche de la photo, Olivier Verrun et Thierry Sub que je n’avais pas revu depuis des lustres. Des sacrés pêcheurs aux appâts naturels, qui se sont également convertis à la pêche à la nymphe à l’espagnole et à la nymphe au toc, nous autres , c’est avec Stéphane Millabet que nous ferons quelques sorties au cours de la saison.
René André alias Vicking38, en haut à droite que je remercie de m’avoir accompagné pour descendre à ce salon, j’ai passé un agréable samedi en ta compagnie.
Mais j’ai gardé pour la fin, cette rencontre imprévue avec Thierry Bondil, un lecteur assidu de mes publications sur mon blog , pour lequel j’apprécie ses commentaires, sans connaitre son visage, mais voilà qui est fait, le réel à remplacé le virtuel.
Et donc ce samedi sur le salon ce monsieur s’est approché de moi, il s’est présenté, je ne m’attendais pas à être reconnu comme ça, mis à part les pêcheurs que je côtoie. J’ai d’une part été ravi de cette rencontre fortuite, mais également été très touché par la démarche, nous avons bien discutés , c’était comme si nous nous étions connu de toujours et nous nous nous sommes promis de nous revoir cette saison, afin de partager une belle journée de pêche.
Thierry, je sais que tu va lire ce compte rendu, j’aimerais que tu remercie de nouveau ton épouse, d’avoir immortalisée ce bon moment avec cette photo de nous deux. Merci à vous deux !
Je vais parler de l’organisation, c’était vraiment un beau salon , mené de mains de maitre par une équipe au top, de l’accueil à toute l’intendance, bonne ambiance, franche rigolade, la sympathie de tous était palpable.
Alors à Eric Arnaud, Nicolas Di Luca et Julien Bauptmann, merci à vous et à toute votre équipe de nous avoir permis de passer une agréable journée ! J’espère pouvoir à la prochaine édition, rester tout le week-end,pour prendre encore plus le temps, parce que j’ai sans doute oublié beaucoup de monde dans la présentation des stands, mais je n’ai pas eu le temps de voir tout le monde ou bien je ne pouvais pas m’approcher car trop de personnes ou partis manger au moment ou je passais devant leurs stands.
Pour information, Eric Arnaud à pris sa retraite et à passer le flambeau à Nico et Julien, désormais ce sont eux les patrons du magasin Sorguett, n’hésitez à passer les voir si vous aller pêcher la Sorgue, ce sont des personnes très compétentes et ils connaissent les techniques mieux que quiconque. Eric je te souhaite une belle retraite, profite bien de ton bateau et si un jour je passe à Port Camargue, j’irais manger dans le restaurant que tu à ouvert pour ta fille.
Épilogue !
Nous ne pouvions pas partir à la maison , sans aller faire un petit tour à la boutique du Sorguett, René ne connaissais pas le nouveau magasin.
Et avant de rentrer, nous sommes allez nous balader au partage des eaux et rendre une dernière visite à la Sorgue, c’est quand même la Mecque pour les amoureux de cette belle rivière.
Je ne l’avais jamais avec un tel niveau d’eau, il faut dire qu’en général, c’est souvent dés l’ouverture de la pêche de l’ombre commun que la plupart des moucheurs y vont.
Ps : suite à un petit bug ce matin au moment de la publication de l’article, j’ai tout perdu le contenu de mon compte rendu , et donc il m’a fallut tout recommencer cet après midi.
Organisé par le parc naturel régional de Chartreuse. Réservez vos soirées de décembre pour des ciné-débats sur l’eau ! les 14 et 15 décembre en Chartreuse ! En présence des réalisateurs :Jeudi 14 décembre 19h : le film « le Partage de l’eau » d’Eric Blanco. Projection à Pont de Beauvoisin au ciné le DiamantVendredi 15 décembre 19h : le film « méandres ou la rivière inventée » co-réalisé par Marie Lusson, anthropologue chercheuse à INRAE (UMR G-EAU) et Emilien de Bortoli, artiste. Projection à St Laurent du Pont à la Maison des Arts. Les Amis du Parc de Chartreuse Siaga Rivière Guiers.
Je vous relate en quelques lignes, le déroulement de ce week-end de Pentecôte partagé ente famille, boulot à la maison et pêche avec les copains David et Benjamin, Claude et Stéphane.
Ce fut relativement compliqué pour moi d’être avec tous au même moment, ce qui fait que sur mes deux demies journées, je n’ai pu pêcher avec Claude et Stéphane car je ne pouvais me libérer pour cause de mise en route et nettoyage de ma piscine.
Mais ceci n’empêchant pas ni les uns, ni les autres de passer un excellent week-end et de se faire plaisir sur les différents secteurs de la réciprocité Guiers.
Truites et ombres furent les poissons pris à la nymphe, mais également en sèche lors d’un coup du soir juste après un violent orage qui s’est abattu sur la région.
Et au cours de ce lundi de Pentecôte, j’ai enfin pu partager un moment de pêche avec Manu , un ami blogueur avec lequel, nous devions nous rencontrer depuis fort longtemps, voilà qui fut fait et nous nous sommes promis de refaire une sortie dés que cela nous sera possible à l’un comme à l’autre.
Place aux photos pour vous mettre dans l’ambiance de nos retrouvailles, je tiens à remercier David pour les photos de Stéphane et de Claude avec lesquels je n’étais pas présent avec eux.
Bilan positif, pas un seul capot au cours du week-end, beaucoup de poissons de pris truites et ombres commun en sèche et en nymphe, toutes tailles confondues et quelques poissons au delà de 40 cm.
j’ai l’impression que l’on marche sur la tête dans ce pays, je relaye ce communiqué de presse de notre fédération de pêche nationale, j’estime qu’il est temps que celle-ci réagisse.
Car il me parait inconcevable que l’on puisse laisser faire cela, alors que nos aappma mettent en œuvre tous les moyens en travaux et en €, pour la libre circulation des poissons et des sédiments.
Espérons que ce message soit entendu dans les plus hautes sphères… car il fait le jeu des antispecistes qui ont notre activité de pêche loisir dans le collimateur
Bonjour à tous,Ce lundi 4 octobre, dernière semaine de pêche en 1re catégorie, lorsque je monte pêcher le Guiers, beau temps, niveau d’eau impeccable, parfait pour faire ma session .De belles éclosions, des truites activent, un après-midi en sèche, quelques truites seront prises et d’autres perdues, j’enrage à la perte d’une truite de 50 cm causé par erreur de ma part, payée cash par une casse causée par le sectionnement de ma micro-boucle, puis plus tard, je perds encore une autre de 35, qui elle s’est sauvée de l’épuisette au moment où j’enlevais la mouche pour faire une photo.
Je tiens remercie Fabien, qui m’a permis de prendre ses poissons, car son œil avisé de guide avait repéré ces poissons, dont je n’avais pas vu les gobages discrets et toutes mes excuses pour ne pas avoir réussi à conclure ces deux poissons, qui auraient couronné de succès mon après-midi et je penses t’aurais bien fait plaisir !…
Le clou du spectacle,
s’est passé au moment où je plonge ma main dans l’épuisette pour sortir une truite que je venais de prendre, afin de la relâcher, pensant que c’était la truite dont je voulais faire une photo, je sens un truc bizarre, mais je n’y prête pas garde.
Alors, je ne sais comment cela s’est passé, mais une couleuvre probablement entrée dans au fond du filet au même moment que la truite, s’est retrouvée posée sur ma canne, sans que l’on s’en aperçoive et lorsque je m’en suis rendu compte, j’ai poussé un cri, puis je me suis retrouvé le cul et la canne dans l’eau, heureusement Fabien a récupéré ma canne et qu’il n’y avait pas de courant à cet endroit. Aucun de nous deux, n’avait vu cette bestiole posée sur la canne, nos regards étaient focalisés sur la truite, Fabien prenant des photos en rafale avec son téléphone.Ce n’est que le soir à la maison, lorsque je reçois les photos que Fabien m’a fait parvenir, que je me suis aperçu qu’une couleuvre avait également profité de cette séance photo, c’était vraiment insolite ! photo Fabien Caterina Une fois cette stupeur passée, que la couleuvre plus apeurée que nous deux, est a regagné la berge, Fabien s’est empressé de la suivre, celle-ci se sentant acculée à la berge, s’est mise en position d’attaque.photo Fabien Caterina
Autant dire que je me souviendrais longtemps de cette journée du lundi 4 octobre, elle fût épique !
ce fût une sortie pleinement savourée du fait de n’avoir pas pêché depuis après 3 semaines d’abstinence , purée que ça fait du bien, de s’oxygéner les poumons et de dépoussiérer la canne tant qu’à faire !..
Voici donc un petit retour sur cette session réalisée ce lundi 26 avril avec des niveaux d’eau est encore hauts, mais cela ne m’a pas surpris puisque j’avais vu le graphisme de la station Hydrographique juste avant de partir.
J’ai donc trouvé une rivière en eau, avec de l’ eau de fonte, bien froide, des poissons pas très actifs, malgré une superbe éclosions d’Ecdyonurus Torrentis , qui a durée à peine 10 mn, puis d’autres insectes comme des petites olives, un plécoptères et il devait y en avoir d’autres que je n’ai pas vu, et malgré tout cela, ça n’a déclenché l’activité des truites en surface.
Elles étaient bien calées sur le fond et il m’a fallut pêcher au fil seulement, en faisant évoluer ma nymphe à ras du fond, sur le 1er poisson j’avais un « Javi cuivre en 3,5 mm », en mode pheasant tail, que j’ai perdu dans une racine, un bloc ou une branche sur le fond de la rivière, du coup j’ai opté pour une autre nymphe Javi, toujours en 3,5 mm et c’est celle-ci qui m’a permis les autres poissons, je vais terminer ma session tant bien que mal, avec au total 8 truites de prises dont deux dépiquées.
Le modèle qui m’a bien réussi au cours de cette session, c’est une nymphe que j’ai réalisée et présentée dernièrement, lors d’un partage sur un groupe Facebook auquel je suis membre.
Hameçon : droit n°12 – Cerques : fibres de hackle ou pardo – Sous corps : fil de montage ou floss – Corps : Javi cuivre 3,5 mm – Cerclage : Quill synthétique olive Hemingway – Thorax : Veevus olive 8/0 – Sac alaire : Laser UV orange fluo .
J’ai cessé ma session après 3 heures de pêche et toujours triste de devoir partir, mais j’en avais largement assez, il est fini pour moi le temps ou je restais du matin jusqu’à la tombée de la nuit au bord de l’eau.
Désormais, je préfère de courtes sessions que de longues journées ou parfois les deux tiers sont improductives.