Chaque année, c’est un plaisir et une joie pour moi de retrouver mon petit groupe d’amis.
Il y avait quelques personnes qui manquaient à notre ouverture 2025 : notre ami Jean Martin, le doyen du groupe, Dominique qui était en vacances et Léandre, le fils cadet de Stéphane, Nico et Damfly qui devaient se joindre à nous pour la journée.
On s’était fixé rendez-vous à 8h30. Rien ne sert de se presser, nous prenons notre temps, car nous savons pertinemment que les truites, là où nous pêchons, ne sont pas très actives avant une certaine heure. Le thermomètre affichait zéro degré à 900 m d’altitude, j’ai eu tellement froid que j’ai du mal à me changer pour la pêche, le froid a perduré une grande partie de la matinée, bien emmitouflé dans mes vêtements chauds.
Le temps que tout le monde arrive, un pêcheur nous croise, il venait de faire le parcours sur lequel nous avions prévu de pêcher, mais cela ne nous a pas dérangés, comme dit le proverbe : rien ne sert de courir, nous sommes encore au café et viennoiseries.
Nous voici fin prêts, comme à l’accoutumée, le choix du matériel pour tous, nos canes à mouche, la technique, nymphe le matin et en sèche en après-midi.Une fois équipés, nous nous sommes scindés en deux groupes sur deux secteurs différents afin de ne pas nous gêner.
Côté pêche, ce fut une journée compliquée, nous avons trouvé un niveau très bas pour la saison et une eau très froide, mais ça c’est normal en cette saison, il reste encore de la neige sur les hauteurs.
En ce qui concerne les truites, elles n’étaient pas aussi actives que nous l’avions envisagé.
Claude, notre ami, nous a accompagnés, mais il n’a pas souhaité pêcher pendant la journée 🙂
Du coup, je pêche en binôme avec Stéphane, on attaque donc à la nymphe, d’emblée je touche une petite truite, qui se dépique et ce sera la seule et unique de la matinée, je finis capot sur la session du matin. Tandis que Stef, touchera deux truites, dont une très jolie truite de part sa robe et sa taille pour le cours d’eau.La petite vidéo de la remise à l’eau, que j’ai publié sur Tiktok ; https://vm.tiktok.com/ZNdemh2j8/
L’après-midi, nous allons pêcher en sèche. De mon côté, je vais faire monter trois truites : deux vont se dépiquer et une daignera se faire tirer le portrait.
De leur côté, David et Max étaient sur un autre secteur. David ne réussira pas mieux que nous, il ne prendra qu’une truite sur la journée, tandis que Max, du haut de ses 15 ans, a bien tiré son épingle du jeu. Il fera une dizaine de truites sur la journée, en nymphe et en sèche l’après-midi. Il ne nous a pas fait pas la pige à tous.
Notre Comme d’habitude, nous avons partagé notre casse-croûte. Il ne manquait rien sur la table, c’était notre rituel annuel.
Voilà la saison est lancée, j’espère que pour vous tout s’est bien déroulé, que vous avez réussi votre ouverture et pu partager également de bons moments avec vos amis.
Dernière minute, David vient de terminer sa session du jour, il ne terminera pas son week-end sur une mauvaise note, bravo mon pote 😉
Je vous souhaite une bonne saison, merci de m’avoir lu !
Bonjour à tous, chers amis(es), nous y sommes enfin, demain 8 mars sera le jour du grand déballage de matériels. Les pêcheurs tous rutilants dans leurs nouveaux aparas, iront arpenter les rivières. La ferveur des uns, l’optimisme des autres, placeront cette journée, sous le signe libérateur d’une longue période d’abstinence. Je serais moi même comme chaque année, en compagnie de mes amis, afin de partager un bout de rivière et nous retrouver autour d’un bon casse croûte. Chers lecteurs, restez toutefois prudents, n’allez pas prendre de risques inutiles, un accident est si vite arrivé, j’ai encore en mémoire le souvenir de ma noyade, qui fort heureusement s’est bien terminée pour moi. Sur ce, je vous souhaite une bonne ouverture 2025 et une très bonne saison halieutique. Merci de m’avoir lu !
cela fait de très nombreuses années que je ne pêche plus qu’au fouet dés l’ouverture et jusqu’à la fin de saison. J’ai donc voulu faire cet article, afin d’apporter aux débutants quelques éléments que je trouve essentiels pour aborder la pêche en sèche dés l’ouverture de la truite en 1ère catégorie et si cela peut permettre à d’autres de le faire j’en serais honoré.
Chaque ouverture avec mes copains se passe comme suit :
Avec mes amis , Stef, David, Claude, Jean , Dominique et les loulous, comme chaque année nous faisons notre ouverture sur les hauteurs, sachant qu’il ne fait pas chaud, mais bon c’est notre rituel et bien souvent nous réussissons en sèche dés le 1er jour d’ouverture.
Par contre le matin aux 1ères heures de pêche, nous prospectons à la nymphe, car les truites n’ont pas encore le nez en l’air.
Mais lorsque nous arrivons sur la fin de matinée , quand le soleil commence à pointer sur le dessus des montagnes, après le casse croûte, nous n’hésitons pas à passer en sèche, bien souvent avec un gros Tavanas ou Tabanas selon l’expression de certains.
» Patrick Sanguin, est le créateur de cette mouche, il l’a nommée « Tavanas » pour imiter un Taon ou Tavan, d’où ce nom de Tavanas, alors rendons à César ce qui appartient à César « .
Tavanas parachute un modèle qui me réussi très bien pour ce type de pêche en torrent.
L’heure optimale en début de saison :
Alors qu’à midi la plupart des pêcheurs se mettent à table, à tort , c’est plutôt le moment idéal pour pêcher en sèche, le créneaux horaire situé entre 11h et 15h00, est parfait pour apercevoir quelques truites attablées sur les Baetis Rhodani ou les March Brown. Mais il peut arriver que ces émergences durent un peu plus tard et il nous est arrivés de prendre des truites aux alentours de 16h/17H, si la météo est optimale, profitez en !….
Si il n’y a pas d’activité en surface, nous chercherons à provoquer les truites, en prospectant les postes où la truite à l’affût peut surgir à tout moment, pour happer votre mouche sans crier garde et là, le plaisir n’en est que décuplé.
L’équipement :
Pour la sèche, j’utilise une canne de 9 pieds soie Wf5 ou 4 et suivant les cours d’eau ou je pratique, j’utilise une 7,6 pieds soie de Wf4, qui est bien pratique pour pêcher sous les frondaisons.
La technique :
Tout d’abord , d’avoir une approche discrète ça va de soi , sinon tout le quartier sera alerté , restez le plus possible sur la berge si cela vous est possible, à moins que ayez trop d’arbres au dessus de votre tête, restez en bordure de rivière, attention aux frayères en ce début de saison. Si c’est votre poste est voûté par des branches, faite un lancé latérale, cela vous permettra d’atteindre le poste choisi sans accrocher votre mouche dans les arbres.
Les postes à pêcher:
Si la rivière est configurée par des espaliers , procéder de façon à rester en dessous et pêcher les postes du dessus. Le lancer doit être le plus discret possible, sans faire claquer la soie sur l’eau, pêcher canne haute , permet à la soie d’éviter de se faire tirer par le courant et de ce fait, faire draguer votre mouche, à éviter sinon la truite sera alertée et déguerpira.
Si votre posé est bien réalisé, que votre mouche suit le courant en se laissant porter au gré du courant, que vous ne cherchez pas à récupérer trop vite votre soie pour relancer. Votre bas de ligne alors, dérivera sans contraintes et votre mouche ira lécher les blocs, raser les rochers, et lorsque le linéaire sera bien prospecté et que votre soie sera en fin de coulée , vous pourrez à ce moment là, relever votre ligne et relancer de nouveau.
Sur cette zone, voyez les nombreux postes à prospecter, les caches sont multiples, si votre approche est discrète, les prises seront assurées en ce début de saison.
Les vasques :
Lorsque vous arrivés sur zones ou il y a des vasques formées par une chute d’eau, prospecter de façon méthodique, afin de mettre les atouts de votre côté.
En commençant par pêcher la queue de courant central, puis par la suite les bordures et les courants latéraux et ensuite terminer par les remous sous la chute d’eau et non le contraire au risque de faire partir les truites qui se trouvent en poste devant et qui à leur tour feront partir les autres.
Servez vous de ces gros blocs pour vous cacher derrière et pêcher sans être vu, c’est très important.
Là encore, sur ce type de poste, il y a de nombreux coups à pêcher, soyez méthodique …..
Sur la photo ci-dessous, le gros bloc rocheux est typique d’un bon poste à truites, votre mouche, doit longer la bordure le long du bloc, mais pas que, tout est à prospecter, ne soyez pas étonné si une belle truite vient prendre votre mouche.
Rien ne sert de courir :
il faut pêcher les sous berges, le devant et derrière les grosses pierres, les bordures riches en caches également, il est d’ailleurs conseillé de progresser depuis la berge à pas de velours, car la résonance de vos pas, peut alerter les truites en postes et faire partir les autochtones.
Car sur ce secteur, les truites sont sauvages,issues de la rivière, pas d’alevinage et encore moins de boites Vibert ou surdensitaires et j’ose espérer qu’à l’avenir ce sera toujours le cas, petit message au président de mon aappma 🙂
Ne rien ne doit être laisser au hasard, l’autre solution peut également être mise en pratique au cours de votre évolution sur le torrent. Comme par exemple, faire un posé en travers, afin que votre soie se pose sur la partie calme de la berge opposée, et que votre bas de ligne soit posé à 3/4 amont, ce qui permettra éventuellement de corriger la dérive par quelques petits mendings discrets, qui permettrons à votre mouche de dériver naturellement.
Ne pas oublier !…
Assurez-vous que votre mouche soit bien sèche et propre, n’hésitez pas à la graisser avant chaque lancer, de manière à obtenir une flottaison optimale pour que votre artificielle dérive bien en surface et que la truite puisse la voir également, parfois même légèrement immergée la mouche est tout aussi redoutable.
Le Tavanas à fait mouche :
Stef avec une belle zébrée prise au Tavanas….
Les doubles collerette ou Diabolo :
Voici un autre modèle qui me réussi bien, c’est la double collerette ou Diabolo, avec cette mouche appelée « L,exquise « qui a été créé par le Dr Juge (1918).
Il fût un excellent pêcheur à la mouche, et à mis au point ce modèle à double collerette, tellement efficace qu’à l’époque il prenait de très nombreuses truites sur une journée de pêche dans le massif de l’Oisans sur l’Eau d’Olles.
Cette mouche est conçue pour la pêche dans les eaux torrentueuses. (source Montotem ou les Chevaliers de l’archi sèche) , site de référence des mouches anciennes pour les amoureux de la pêche en sèche.
Ma mouche, n’est pas tout à fait exacte au modèle original, mais elle pêche et prend du poisson soyez en certain. Je l’ai testée de partout et même dans les Dolomites et j’avais publié un article en 2020 (voir ici) à propos de ce montage, j’en ai refait pour cette saison.
Sans oublier la fameuse Baetis Rhodani qui est une incontournable mouche de début de saison, un autre modèle qui me réussi bien aussi.
baetis olive paraloop #16
Et quelques autres mouches que je vais utiliser dés l’ouverture, des mouches qui ont faites leurs preuves.
Ce sont des modèles qu’utilise beaucoup mon ami Alvaro, très efficaces en Espagne, mais que j’ai utilisé sur nos rivières française , mais également dans les Dolomites.
Deux séries de mouches montées sur des hameçons de #16 et 18, série 1 réalisée avec le corps en Kapok , cerques cdc, thorax dubbing de lièvre, aile cdc.
Série 2 , cerques pardo, corps dubbing superfin olive, thorax dubbing lièvre très fin, ailes cdc, repère visuel floss fluo rouge.
Mon bas de ligne type pour ces types de parcours :
Une longueur et demie de canne sera suffisante , avec un bas de ligne de 2,80 m, ça peut largement faire l’affaire, muni d’une pointe courte, mais que vous pouvez moduler selon la configuration du parcours plus ou moins longue.
Je réalise une micro boucle sur la pré-pointe en 15 centièmes, c’est ce qui me permet de faire évoluer la longueur si besoin sans toucher au corps de ligne.
Lorsque je suis avec des potes qui débutent , je leur dis que je pratique la » P.T.T » une (pêche tout terrain) , en effet je module en permanence cette pointe, certes l’économie de nylon n’est pas à regarder si l’on désire un tant soit peu, réussir sa sortie.
Type de poste à truites, ou l’on peut voir l’ami Claude prospecter le courant de droite sur la photo, sa mouche reste en suspend dans les parties calmes du courant, prête à faire sortir une truite.
Voilà pour les quelques conseils que je peux vous apporter, j’espère qu’ils vous permettrons de réussir votre ouverture en sèche , en tout cas je vous souhaite de belles réussites pour cette ouverture 2025 , si toutefois vous désirez la faire en sèche c’est encore mieux.
Ceci est valable pour les personnes qui désirent pêcher au Tenkara ……
Petit conseil qui à une importance capitale, faites attention de ne pas piétiner les Frayères.
Et voilà la saison de pêche en 1ère catégorie 2024 qui vient de se terminer, pour les Alpes, un peu perturbée ces derniers jours par la pluie, qui a déjoué certains plans pêche.
Nos rivières étaient un peu hautes et froides, avec l’arrivée les premiers frimas de l’automne, une météo dégradée depuis fin septembre et en ce début octobre tout aussi médiocre, c’est sur que ce n’est pas l’été indien que nous espérions.
J’ai clos ma saison ce samedi 5 octobre, en compagnie de mes amis Claude, Nico et tonton Jeff (Jean François), qui est venu passer le week-end aux « Rencontres Sempé Alpes 2024 » , ou comme chaque année, le groupe était basé au camping » Le coin tranquille » aux Abrets (38).
A 8h30, je suis arrivé au camping, pour récupérer Claude et Jeff et revoir Richard et Hugo Sempé et quelques potes sempéiste dans la salle ou tout se petit monde prenait le petit déjeuner, avant de partir à la pêche, mais moi, cette année, mis à part le petit café du matin , je n’avais fais de réservation pour le repas de soirée, ou du dimanche midi, il me fallait rentrer tôt par obligation familiale.
En route pour cette journée de pêche :
Donc pour cette fermeture, Jeff voulait pêcher en sèche et m’avait demandé d’amener une canne à mouche en plus, et ce fut fait. Sachant que la pêche du matin en sèche en cette période ne serait pas des plus simples, d’autant plus que les niveaux , étaient un peu forts et l’eau bien froide, la température était de 9° à St Laurent du Pont, alors je vous laisse imaginer sur les hauteurs, il faut enlever un ou deux degrés supplémentaires, mais nous n’étions pas pressés, trop contents de nous retrouver ensemble, je n’avais pas revu Jeff depuis 2019 c’est peu dire.
Partis des Abrets, nous sommes arrivés sur place. Il était un peu plus de 10 h du matin. Le temps de nous changer, Nico arriva à son tour. Une fois prêts, nous avons scindé notre groupe en deux équipes, enfin presque 🙂 Claude partit seul à l’amont car il avait fait le choix de pêcher aux appâts et nous trois à la mouche, nous avons choisi l’aval 🙂 🙂 .
La pêche, mais pas comme je l’avais prévu !….
Ce n’était pas la folie côté touches en voulant pêcher avec un Tavanas, qui habituellement nous réussi bien sur cette rivière, n’a pas été à la hauteur de nos attentes, car les truite étaient bel et bien calées.
Nico touchera la première truite du groupe, une petite truite qui tout de même débloque le compteur. Tandis que Claude de son côté, fera mieux que nous en pêchant au appâts (vers), il touchera 9 truites le matin.
Jeff et moi, ce ne fut pas mieux, nous avons fait monter quelques truites, j’en fais une à la nymphe car j’avais troqué mon tabanas en arrivant sur un joli spot, puis nous avons terminés notre parcours à 12h30, car c’était l‘heure du casse croûte.
Nico , plus équipé que nous pour les préparatifs du casse-croûte, nous a sorti les chaises pliantes, nous étions ainsi bien installés au soleil, tout en gardant nos vestes, j’avais encore froid aux mains.
Après cette collation, comme à son habitude, Nico nous a offert la petite goutte de chartreuse verte, seul bémol, aucun de nous avez pensés à apporter le café et ensuite, nous avons repris le chemin de la rivière, qui était encore à bien l’ombre.
Seuls Jeff et moi avons pris nos cannes pour l’après midi, tandis que nos deux compères nous ont suivis en longeant la berge.
Jean François habitué à ses rivières auvergnates, fut toutefois un peu déboussolé par cette pêche quasi sous la canne , équipé d’un Tavanas ou le lancé devait pratiquement se faire avec peu de soie dehors ou même pas selon les coups à pêcher sous cette couverture végétale par endroits.
Nous avons remonté la rivière, tout en prospectant chaque bloc, chaque berge, chacun d’un côté du cours d’eau, nous avancions au même rythme, Jeff a fait monter pas mal de truites, mais beaucoup de ratées, par manque d’habitude.
De mon côté j’en fais monter quelques-unes aussi, malgré ça, les truites n’étaient pas très actives. Nous avons trouvé une rivière quasi fermée, du moins pour la pêche en sèche. Je pense qu’à la nymphe, nous aurions pu en faire davantage, mais notre objectif était de ne pêcher qu’en sèche.
petit déjeuner au camping
coprins chevelus
les doyens de la team
Nico en séche
Jeff
l’éléve appliqué
sont plus sérieux à la pêche qu’à table
Claude et Nico nous suivent sur la berge
à l’année prochaine..
une jolie truite du secteur
clap de fin , la dernière de la saison
Á vrai dire, j’avais fait deux sorties les jours précédents, et les conditions de pêche étaient meilleures, je vous laisse cliquer sur les liens ci-dessous :
J’ai souvent mentionné au fil de mes publications que cette saison ne sera pas, pour ce qui me concerne, classée parmi les meilleures, malgré les quelques dernières sorties où tant bien que mal, j’ai tout de même réussi à faire quelques poissons, c’était le but de cette sortie, d’être ensemble et passer une bonne journée en bonne compagnie.
J’espère que pour vous, que cette fermeture s’est bien passée et que votre saison 2024 vous a été faste ?…
Les Dolomites
Les aléas de la vie ne m’ont pas permis d’aller plus souvent à la pêche et de ce fait, j’ai annulé mon 4ème séjour dans les Dolomites, je ne serai donc pas de la partie cette année, à cause des petits soucis de santé de mon épouse.
J’espère bien me rattraper l’an prochain, en tout cas je compte sur les copains qui m’ont promis de me faire vivre leur séjour au travers de leurs photos sur notre groupe WhatsApp.
Et cette fois les Dolomites et les bons repas se feront sans moi, amusez vous bien les amis et bien le bonjour à Stefano de ma part 😦 😦
nous voici arrivés dans la dernière quinzaine de pêche de la truite en 1ère catégorie pour notre région des alpes alors je vous souhaite encore de belles parties de pêche.
Sitôt rentré de congés, je me suis empressé d’aller faire un tour à la pêche et je vous relate donc, cette petite sortie réalisée hier en après-midi.
De mon constat, il ne manque pas d’eau et les truites sont toujours bien dynamiques et loin d’être amorphe et donc au cours de cette session, j’ai utilisé quelques nymphes que j’ai monté ces derniers temps afin de m’assurer de leur efficacité, afin de vous assurer que ces nymphes prennent du poisson.
Et comme j’aime bien tester mes montages, avant de vous les proposer au montage, je change souvent de nymphe en cours de pêche, pour me faire une idée de leur attrait auprès des truites ou ombres communs.
Toutes les nymphes ou mouches que je réalise et présente sur ce blog, prennent des » Truites et des Ombres commun » entre autres espèces !
La Pink Nymph:
Hameçon : # 14 tige droite – Tête : bille tungstène rose métallique 2,8 mm – Cerques : fibres de coq de Leon – Dos : film plastique zinc – Corps : dubbing d’antron rose crevette – Cerclage : fil iridescent violet – Collerette : Cdc mauve
La vautour nymphe :
Hameçon : # 14 ou 16 tige droite – Tête : bille tungstène argent 2,8 mm – Cerques : pardo – Abdomen : herl de vautour naturel ou substitut – Collerette : dubbing Hare Ear plus couleur verte .
Hameçon : #12/14 – Cerques : plume pardo – Corps : dubbing de laine d’Alpaga fuchsia – Cerclage : fil de cuivre blanc fin – Collerette : dubbing de laine d’Alpaga fuchsia – Lestage : bille Or tungstène (pour les forts courants ou laiton pour des eaux plus calmes ) – Fil de montage : mauve 8/0
L’Opalescente , ( voir détail du montage ici ) elle est une de mes nymphes fétiches, c’est mon incontournable, celle que je n’oublie jamais de me servir sur n’importe quelle rivière en France comme dans les Dolomites.
Hameçon : 10/12/14/16 – Tête : bille tungstène : de 2,2 à 3,8 m/m – Cerques : coq Pardo ou Limousin – Carapace : Mylar opalescent – Cerclage : Fil de cuivre argent – Corps : dubbing vert : Hare Ear plus Devaux – Collerette : Dubbing de lièvre noir.
Et pour terminer j’ai utilisé une perdigone avec un corps fil de montage or et un thorax orange fluo bille 2,8 mm en taille #14, celle-ci était un nouvel essai, je ferais un tuto prochainement.
Je vous met en ligne une petite vidéo via ma chaine Tik Tok en cliquant sur l’image ci-dessous :
Bon week-end et surtout une bonne fin de saison à vous tous, merci
en ce moment je suis en pleine préparation de mon prochain séjour dans les Dolomites mi-octobre, en compagnie de mes comparses mousquetaires, Stef, David et Dominique, pour la 4ème années consécutives et pour préparer ce séjour, je monte de nouvelles nymphes pour pêcher la Sarca et d’autres cours d’eau alentours.
Mais avant de partir, il me faut les tester et c’est ce que je fais en ce moment lors de mes sorties de pêche ces derniers jours et ce jusqu’à notre fermeture officielle en 1ère catégorie.
Que dire de ces nymphes, à part que les truites ont validées sans conteste ces petites bouchées, que ce soit en chartreuse ou ailleurs.
Hameçon : tige droite #16 – Tête : bille tungstène rouge 2,5 mm – Cerques : fibres de coq pardo – Abdomen : herl de condor naturel – Thorax : Ice dub pourpre – Fil de montage : Veevus 12/0 noir.
NB: Vous pouvez bien évidement décliner ces nymphes dans d’autres tailles d’hameçons ou de billes.
Pour ce qui concerne , afin d’éviter toutes polémiques sur la provenance de ces plumes, mais également pour ceux que ça intéresse, les herls de condor ou vautour naturels que j’utilise, ont étés achetées dans des parcs animaliers, comme par exemple celui que j’ai visité l’an dernier » Les aigles du Léman « , entre 20 et 30 € la plume, c’est pas donné, mais quand on voit le nombre de nymphes ou mouches que l’on peut faire avec une seule plume, ça vaut quand même le coup !
Voici quelques belles truites bien dodues prises en flagrant délit de gourmandise, au cours de ma session de ce vendredi 6 septembre, avec pas mal de petites entre 15 et 20 cm .
D’autres montages seront présentées dans mes prochains articles et j’espère pouvoir faire de nouveaux retours sur ces montages, que je vais utiliser d’ici la fermeture.
voici un petit résumé de cette session du samedi 17 août en début d’après-midi, rare jour ou je suis à la pêche. La durée de la session était de 2h00, car la météo avait annoncée de grosses averses, d’autant plus que le ciel commençait à se couvrir, avec une chaleur moite, heureusement j’ai eu le temps de faire mon parcours avant que la pluie arrive.
Dés mon arrivée, j’aperçois quelques gobages en amont, mais ce ne sont que des petites truites, que je laisse tranquilles.
Je m’en vais prospecter les courants du dessus à la nymphe , espérant trouver quelques truites maillées. Ce fut la bonne option , car dés ma nymphe posée dans un joli courant, je touche une 1ère truite, qui n’a pas voulue se laisser amener à l’épuisette, me livrant un honorable combat, s’en allant de facto se caler sous une souche.
Ma canne arcboutée, la belle ne daigne pas sortir de sa cache, mais après quelques minutes, j’arrive enfin à la déloger de son repère, mais la voilà partit vers l’aval, me gratifiant au passage d’une belle chandelle, pour tenter de se décrocher , mais ayant prévu sa réaction, je l’a bride dans son élan et l’amène dans la filoche !!!
C’est une très belle fario, avoisinant 40 cm, tout en puissance et surtout bien combative, ma Soldarini 9 pieds à bien encaissée les rushs sous les coups de butoir de cette truite bien décidée à en découdre avec moi.
Je l’a rend à son élément en bon et due forme, puis je continu ma prospection , tout en remontant le cours d’eau avec la plus grande discrétion, pratiquant le plus souvent un lancé arbalète sous les frondaisons, suivant des yeux mon repère fluo , mis en complément de mon bas de ligne, celui-ci passe le long des berges, la nymphe tombe pile à l’endroit voulu et sitôt, le verdict ne se fait pas attendre, ce sera une seconde truite tout aussi nerveuse, mais nettement moins grosse, un bon 30++
Remise à l’eau, aprés la séance photo dans l’épuisette , me voila reparti en prospection, avec toutefois un petit passage à vide sur près de 100 m , le spot était quasi désert , pourtant je sais que ces postes sont toujours fréquentés par quelques jolies truites, mais cette fois ce n’était pas l’endroit ou elles se trouvaient.
Me voici arrivé sur le haut du parcours sélectionné, mettant fin à cette sortie imprévue, car le ciel menaçant, ne m’a pas donné l’envie de poursuivre, bilan sur cette rivière que je n’avais pas pêché depuis l’an dernier , cinq truites, dont deux belles et deux tapes en tout est pour tout, c’est maigre, mais les niveaux étaient tellement bas , que je ne vais pas me plaindre du résultat.
Cela suffit à mon bonheur, que demander de plus, quand une sortie n’était pas prévue. De toutes façons, j’étais en nage dans mon waders, il faisait très lourd et je n’avais qu’une hâte, c’était de rentrer à la maison, de me prendre une bonne douche et de plonger dans ma piscineet juste aprés de boire une bonne bière bien fraiche.
je ne classerais pas ma saison 2024 parmi les plus productives en terme de sorties de pêche.
Pour ce qui concerne ce mois de Juin c’est encore pire que les mois précédents, si je conjugue le mauvais temps, avec des rivières qui n’ont cessées de jouer le yoyo et les tracas familiaux côté santé.
Ces derniers, ne m’ont pas permis d’être souvent au bord de l’eau, ainsi va la vie, d’où le manque d’articles sur le blog, car je n’ai peu le temps et surtout je n’en avais aucune envie, préférant passer plus de temps auprès de mon épouse.
Je tiens à remercier les potes qui étaient au courant, ils se reconnaitrons , leur soutien moral, ça fait du bien.
Côté pêche, trois sorties dans le mois, c’est peu dire, une première le 14 Juin avec Nicolas , une partie de pêche capot, mais hélas écourtée suite à un appel téléphonique urgent, mais je ne vais pas m’étaler sur ma vie privée, vous comprendrez.
Nous avons tout de même eu le temps de partager un casse croûte au bord de l’eau et boire un petit coup de chartreuse verte 🙂 ( Merci Nico).
La seconde en solo le 19 Juin :
Je démarre sur les chapeaux de roues, les prises s’enchainant les unes aprés les autres, sur une petite heure, je ferais sept poissons , cinq ombre et trois truites. Je perd une très belle truite, prise dans un calme de l’autre côté d’un courant puissant, à peine mes nymphes posées, elle s’en saisit et me fait deux chandelles et d’un coup de colère , elle s’en mise à dévaler la rivière me prenant plus de 15 mètres de fil.
Puis les ombres ont pris le relais, ils étaient plein courant, autant dire que les bougres savent se servir de leurs dorsales pour combattre.
Et la dernière sortie en date, le 27 Juin :
Niveau de l’eau parfait, avec une nouvelle fois de la réussite, technique de pêche à deux nymphes ( autorisée) , je termine ma session avec 16 truites, sur le nombre, je prendrais une dizaine de juvéniles sur la potence, je n’ai pas voulu prendre de photos afin de ne pas trop les manipuler, ça fait plaisir de voir la relève assurer la pérennité de cette rivière.
Voici une vidéo de la release de ces superbes truites pour ceux qui me suivent sur ce lien Tik-Tok.
malgré des conditions météos annoncées avec de fortes pluies sur notre région, j’avais décidé malgré tout d’aller à la pêche, quelque soit le temps, quitte à braver les Dieux de la pluie et ce ne fut pas un vain mot.
Donc pour relater cette journée sur l’Albarine, totalement imprévue , j’avais prévu de pêcher le Guiers, et lorsque je suis arrivé sur St Laurent du pont, j’ai aperçu Fabien (mon fils) qui partait de chez lui avec sa voiture. Je lui ai de suite téléphoné pour savoir si il pêchait, il me dit que Denis est avec lui pour une journée de guidage sur l’Albarine, puis dans l’élan Fabien me propose de me joindre à eux , et bien évidement j’ai de suite accepté.
L’Albarine coule sous nos yeux, le spot à grosses truites et surtout un spot pour la pêche à vue, seul deux poissons sont vus, les truites et les ombres ne sont pas dehors, pas de pêcheurs non plus, un spot quasi désert ce qui est rare surtout ici de voir personne, mais l’ ouverture de l’ombre se faisant le week-end prochain, on comprend mieux, la marche dans l’eau sera de nouveau autorisée, toutefois soyez vigilants, car nous avons vus quelques alevins d’ombres sur certains secteurs et en bordures d’autant plus.
Pour ce qui concerne la pêche, elle fut compliqué, avec la chute de température du jour au lendemain, pour cause ce temps maussade et la pluie qui au début est tombée modérément et à seaux jusqu’à notre départ à 15h30.
Je n’ai aperçu qu’un seul gobage et comme il est encore interdit de marcher dans l’eau sur l’Albarine, certains jolis coups étaient infaisables, j’ai donc comme tout le monde pêché du bord , en peignant à la nymphe, les courants de bordures et ceux accessibles, je vais malgré ça réussir à prendre trois poissons.
Fabien à testé ma Guideline Nymph LPX et aussitôt une petite truite se laissera berner lors du passage de la nymphe sur la rive opposée, maigre lot de consolation sur un spot qui habituellement est très prometteur.
Sur le retour, nous décidons de faire le coup du soir en Chartreuse, et ce ne fut pas mieux point de vue météo, j’étais trempé jusqu’aux os, heureusement que je pars toujours avec des vêtements de changes. Le coup du soir fut pour nul, par contre Denis sur les conseils de Fabien, réussira sa soirée avec une très belle truite de 46 cm prise en sèche, ce fut le seul gobage aperçu de la soirée.
La Team du jour !
Ce fut une agréable journée passée en compagnie de mon fils de Denis, que je n’avais pas revu depuis l’an dernier, nous nous sommes promis de refaire une session commune, bien évidement selon les disponibilités de mon fils, guide de pêche Fabien Caterina 🙂 🙂 🙂
pour cette seconde sortie de la semaine, je suis monté en chartreuse, sachant que j’allais trouver un niveau d’eau élevé et de l,eau de fonte et je ne me suis pas trompé, qu’à cela ne tienne, je n’ai pas fait le déplacement pour ne pas pêcher.
Côté éclosions, j’ai aperçu seulement quelques insectes, un eccdyo, deux crèmes et une baetis, de toute façon, il n’y avait aucune activité en surface.
J,ai donc pêché à deux nymphes, avec une pheasant tail 3,3mm en pointe et une jaune en potence en 3 mm.
Je vais peigner les courants, trop puissants pour que ça pêche plus en profondeur, je n’avais pas pris mes nymphes plus lourdes et j’ai donc fait avec ce que j’avais dans la boite.
J’ai essentiellement pêché les bordures, les truites se tenaient là, je vais terminer ma session avec quatre truites bien combatives, ce fut une session suffisante pour étrenner ma Guideline LPX NYMPH, que je n’avais pas encore utilisé jusqu’à présent. La petite vidéo des remises à l’eau : https://vm.tiktok.com/ZGexKkWFg/
Bonjour à tous, un petit résumé rapide de mon escapade en terre Drômoise. Avec let découverte d,une rivière que je ne connaissais pas. Malgré une météo pluvieuse, nous sommes partis balader avec mon épouse ,dans le fond de la vallée avec 150 m de dénivelé, pour aller voir une cascade haute de 72 m de haut. Puis après le repas, je me suis octroyé une petite session de 14h à 16h, je prendrais une vingtaine de truites en nymphe sur 400 m de rivière parcouru, de la où j’ai commencé ma pêche,jusqu’à mon camping car. Voici quelques photos et deux vidéos, pour vous donner un aperçu de cette escapade en Drôme du sud : https://vm.tiktok.com/ZGeuM7mrD/ https://vm.tiktok.com/ZGeuMWTWw/
cette semaine en célibataire se termine avec de belles sorties et rencontres, pour cette journée du 19 Juillet, je l’ai partagée avec Nicolas et proposé à Claude qui hélas n’a pu se joindre à nous, mais il ne pouvait se libérer.
Pour une fois , je suis parti à la pêche dés le matin, car notre rendez était fixé à 8h00. Après nous être retrouvés et les salutations effectuées, j’ai proposé un secteur ou nous étions certains de trouver encore un bon niveau d’eau et des poissons actifs et en même temps nous permettre de pêcher au frais sans subir les fortes chaleurs.
Nicolas pêchera à la nymphe avec sa « PS DARK » Sempé , tandis que moi j’ai fait le choix de pêcher en sèche avec un Tabanas et des petits culs de canard.
L’un et l’autre, nous avons pris pas mal de truites de toutes les classes d’âge, en nymphe ou en sèche, les poissons furent très coopératifs.
Je perds casse sur une jolie truite, venue se saisir de mon » Tavanas ou Tabanas « , que je venais de poser à ras d’un gros bloc, une truite estimée à 40 cm , mais qui s’est de suite réfugiée sous le bloc et malgré mes efforts pour la déloger de sa cache, c’est le fil qui à cassé, j’aurais bien aimé lui tirer le portrait à elle aussi. J’en toucherais encore d’autres moins grosses mais avec de belles zébrures et toute l’énergie qui leur incombent. Je ferais un autre article sur ces dernières sorties de la semaine 30.
Car je préfère mettre à l’honneur cette superbe truite prise par Nico, une truite à la robe exceptionnelle, jugez du peu !…
Bravo Nico ….
A bientôt pour un autre récit, merci de m’avoir lu !
Après avoir essuyé un sévère capot hier après midi, le 1er de la saison, où j’ai trouvé une rivière complètement fermée et des poissons pas enclins du tout à se saisir de mes nymphes et encore moins en sèche.
A n’y rien comprendre, c’était comme si je pêchais dans un cimetière, j’ai eu beau chercher les veines porteuses, les plats, les lisses et les bordures, rien ne prenait.
Il y a des jours sans et d’autre avec et ce fut le cas aujourd’hui avec cette séance de rattrapage en aprés midi où j’ai trouvé des truites plus coopératives et combatives, j’en prendrais une vingtaine en tout, dont encore deux bolides qui se sont dépiquées, une aprés 3 chandelles au dessus de l’eau et une autre qui est remontée directe en amont dés qu’elle à été piquée.
Quelques photos pour étayer l’article :
La nymphe mauve et la bille blanche en début de session ont fait le job, la mauve fut celle qui a été le plus sollicitée et elle a finie bien destroye en fin de session.
Je vous relate en quelques lignes, le déroulement de ce week-end de Pentecôte partagé ente famille, boulot à la maison et pêche avec les copains David et Benjamin, Claude et Stéphane.
Ce fut relativement compliqué pour moi d’être avec tous au même moment, ce qui fait que sur mes deux demies journées, je n’ai pu pêcher avec Claude et Stéphane car je ne pouvais me libérer pour cause de mise en route et nettoyage de ma piscine.
Mais ceci n’empêchant pas ni les uns, ni les autres de passer un excellent week-end et de se faire plaisir sur les différents secteurs de la réciprocité Guiers.
Truites et ombres furent les poissons pris à la nymphe, mais également en sèche lors d’un coup du soir juste après un violent orage qui s’est abattu sur la région.
Et au cours de ce lundi de Pentecôte, j’ai enfin pu partager un moment de pêche avec Manu , un ami blogueur avec lequel, nous devions nous rencontrer depuis fort longtemps, voilà qui fut fait et nous nous sommes promis de refaire une sortie dés que cela nous sera possible à l’un comme à l’autre.
Place aux photos pour vous mettre dans l’ambiance de nos retrouvailles, je tiens à remercier David pour les photos de Stéphane et de Claude avec lesquels je n’étais pas présent avec eux.
Bilan positif, pas un seul capot au cours du week-end, beaucoup de poissons de pris truites et ombres commun en sèche et en nymphe, toutes tailles confondues et quelques poissons au delà de 40 cm.
je vous relate en quelques lignes, d’une session d’un après-midi au bord de l’eau, qui s’est déroulée en ce jour du 25 mai.
J’avoue que ça m’a changé un peu du jardin, j’ai choisi le parcours no kill des gorges, il n’y a pas eu d’activités en surface, peu d’éclosions.
Le débit était plus que correct , avec une eau cristalline , j’ai opté pour la pèche à la nymphe. Début de session, 13h00, fin de session 17h00, au total 15 poissons. Encore une belle qui ne viendras pas orner sa belle frimousse sur le blog, à cause d’une casse à ras de la nymphe, juste avant de la toucher, je venais d’accroché celle-ci sur le fond entre les gros cailloux et je n’ai pas vérifié l’état du fil et lorsque je touche ce beau poisson ( 40 cm) , j’ai payé cash ma non vigilance et pourtant je sais très bien qu’il ne faut pas hésité à refaire sa pointe.
J’ai testé pas mal de nymphes, car il ne suffit pas de les monter, mais il faut aussi vous prouver qu’elles sont faites pour pêcher.